Sous la direction de la ministre de l'Environnement et du Changement climatique, Catherine McKenna, le Canada est devenu un chef de file mondial dans la réduction des polluants climatiques à courte durée de vie (SLCPs) les émissions à la fois nationales et internationales.
Depuis l'élection du ministre McKenna en 2015, le Canada a réduit ses émissions de carbone noir de 18 % par rapport aux niveaux de 2013 et devrait les réduire de 30 % d'ici 2030. Les émissions de méthane devraient également diminuer de 16 % par rapport à 2012 d'ici 2025. Ces réductions peut être attribué à la réglementation sur le pétrole et le gaz méthane en amont que le ministère de Mme McKenna a publiée en mai 2017.
La ministre McKenna a travaillé sans relâche sur la scène mondiale pour plaider en faveur d'un amendement au Protocole de Montréal visant à éliminer progressivement les hydrofluorocarbures (HFC), les réfrigérants et les liquides de refroidissement dont le potentiel de réchauffement planétaire est de 100 à 1000 2016 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone. Ses efforts ont contribué à l'adoption de l'amendement de Kigali en 2017, qui a ensuite été ratifié en 1 et entre en vigueur le 2019er janvier XNUMX. La ratification de l'amendement de Kigali est l'une des actions climatiques les plus importantes que le monde ait prises au cours de ce siècle.
La ministre McKenna a également été une championne mondiale de la Powering Past Coal Alliance, formée par le Canada et le Royaume-Uni en 2017. L'Alliance appuie l'élimination progressive de l'énergie traditionnelle au charbon. Le nombre de membres de l'Alliance est depuis passé à plus de 60.
En 2017, le Canada a ratifié le Protocole de Göteborg, qui comprend des engagements de réduction des émissions de carbone noir en tant que composant des particules. Le protocole de Göteborg est le premier instrument juridiquement contraignant à mettre l'accent sur les polluants climatiques à courte durée de vie.
En tant qu'hôte du Forum mondial sur le méthane à Toronto en 2018, le Canada a mené des discussions pour faire progresser l'atténuation du méthane grâce à une meilleure innovation politique, scientifique et technologique. Le Canada participe également au Conseil de l'Arctique et préside un organe de négociation clé dans le cadre de la pollution atmosphérique transfrontalière à longue distance (LRTAP). Le ministre McKenna a également amélioré les relations bilatérales afin de réduire SLCP émissions dans des pays comme le Mexique et le Chili.
Le travail de la ministre McKenna a amené le Canada à SLCP l'atténuation comme une priorité pour réduire le réchauffement climatique à court terme, ainsi qu'un moyen de soutenir le programme de développement durable à l'horizon 2030. Ces mesures contribuent à l'objectif du Canada d'atteindre les objectifs de l'Accord de Paris tout en procurant des avantages pour la qualité de l'air et la santé humaine.