Réduire les émissions de N2O : de la science à l'action - Lancement de l'évaluation mondiale des émissions d'oxyde nitrique

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(Bakou)
Pavillon des États-Unis

L’oxyde nitreux est le troisième gaz à effet de serre le plus important et la substance appauvrissant la couche d’ozone la plus abondamment émise. Il est inclus comme l’un des six gaz à effet de serre gérés par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. 

Les efforts nationaux et mondiaux d’atténuation du changement climatique ont tendance à se concentrer sur le dioxyde de carbone et le méthane, comme le reflètent les nouveaux engagements nationaux et la Global Methane Pledge réduire les émissions d’au moins 30 % par rapport aux niveaux de 2020 d’ici 2030. Et pourtant, les efforts d’atténuation qui excluent l’oxyde nitreux pourraient rendre beaucoup plus difficile, voire impossible, la réalisation d’une série d’objectifs en matière de climat, d’ozone et de développement durable.

Co-organisée par Climate Advisers, le Département d'État américain, la Climate & Clean Air Coalition - Une initiative du Programme des Nations Unies pour l'environnement et l'Initiative internationale sur l'azote lancent l'évaluation mondiale de l'oxyde nitrique par le Climate and Clean Air Coalition, Programme des Nations Unies pour l’environnement, Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture et Système international de gestion de l’azote, en collaboration avec le Secrétariat de l’ozone du Protocole de Montréal.

Cet événement examinera les possibilités d'atténuation et les avantages connexes sur la santé et le développement durable. Il mettra également en évidence une série de solutions-voies qui réduisent considérablement les principaux facteurs de N2Les émissions d’ozone dans les secteurs de l’alimentation et de l’agriculture, tout en réduisant progressivement les émissions industrielles.

Messages clés

  • Protoxyde d'azote (N2O) est le troisième facteur du changement climatique et la principale source d’appauvrissement de la couche d’ozone atmosphérique.
  • N2Les concentrations d'O2 au cours de la dernière décennie ont dépassé les trajectoires futures de GES les plus pessimistes utilisées par le GIEC ; il n'y a aucun moyen d'atteindre les objectifs de l'Accord de Paris sans action climatique sur le N2O.
  • N2Les bénéfices annexes sont considérables : qu’il s’agisse de l’appauvrissement de la couche d’ozone, de la qualité de l’air et de la santé, ou encore du développement durable.
  • Il existe une large gamme de solutions pour lutter contre N2Émissions d'O : les technologies de réduction existantes peuvent réduire progressivement les émissions industrielles d'azote2émissions d’O2 dans les prochaines années.
  • Le secteur de l'alimentation et de l'agriculture représente plus de 70 pour cent de la production nationale.2Émissions d’O ; les technologies de réduction existantes peuvent réduire les émissions de 40 pour cent d’ici 2050.  

Événement parallèle de