République Dominicaine

CCAC Partenaire depuis
2012

À Propos

Depuis avoir rejoint le Climate and Clean Air Coalition En 2012, la République dominicaine a lancé plusieurs initiatives pour relever les défis interdépendants du changement climatique et de la pollution de l'air.

En 2015, le gouvernement de la République dominicaine a soumis sa contribution déterminée au niveau national (NDC) à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Dans sa CDN, la République dominicaine s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 25 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 2010. Depuis, le pays travaille avec l'initiative SNAP (Supporting National Action Planning) de la Coalition pour faire avancer ses engagements internationaux.

En 2018, la République dominicaine a élaboré un inventaire intégré des émissions de gaz à effet de serre, polluants climatiques à courte durée de vie (SLCPs) et les polluants atmosphériques. Ces travaux ont conduit au lancement d'une évaluation en 2019 qui permettra d'évaluer l'efficacité des SLCP politiques et mesures d'atténuation et être utilisé pour produire un rapport de recommandation pour le processus de révision de la CDN.

D'autres exemples du travail de la République dominicaine sont présentés ci-dessous.

En dehors du terrain

Activités domestiques

Vers la réduction du méthane, la République dominicaine conçoit et mettra en œuvre son CCDP sur le secteur des « gains rapides » par le biais de mesures d'atténuation appropriées au niveau national (NAMA). En outre, le pays a élaboré une étude de faisabilité déterminant les émissions de CO2e concernant le secteur des élevages porcins ainsi que les émissions de CO2e dans le secteur de l'élevage.  

Dans le cadre d'une mesure nationale, la République dominicaine a introduit la taxe carbone pour le secteur des transports concernant leurs émissions de CO2.

En 2007, la loi sur les énergies renouvelables 57-07 est entrée en vigueur et en 2008, le règlement sur les énergies renouvelables n° 202-08 a été signé pour l'application de la loi. La loi 57-07 accorde de nombreuses incitations et exonérations fiscales aux investisseurs dans les énergies renouvelables. 

Le gouvernement de la République dominicaine et le PNUD, en tant que chef de file de l'agence de mise en œuvre, exécutent le plan de gestion de l'élimination des HCFC (phase I) permettant au pays de se conformer à la réduction de 10 % de la consommation de HCFC prévue par le Protocole de Montréal d'ici 2015.

La République dominicaine développe un projet de foyers à haut rendement dans la zone frontalière entre Haïti et la République dominicaine afin d'éviter la déforestation et d'augmenter le couvert forestier dans cette région, de réduire les émissions dues à la déforestation, et également d'augmenter le niveau de vie de la population rurale frontalière grâce à un air plus pur et une réduction du temps de collecte du bois de chauffage par les femmes. Cette initiative pourrait être développée à travers un Programme d'Activités (PoA) dans le cadre du MDP, ou NAMAs, pour lequel une étude sur l'utilisation du bois de chauffe et les stock-options dans la zone frontalière du pays vient de démarrer.

Activités internationales

La République dominicaine est pleinement impliquée dans les négociations internationales sur le changement climatique. En août 2013, la République dominicaine deviendra membre du conseil d'administration du Fonds vert pour le climat.

Il est co-président du sous-comité des eaux usées municipales (MWW) au sein de l'Initiative mondiale sur le méthane (GMl). Fait également partie des efforts du Partenariat international sur l'atténuation et le MRV lancé par l'Afrique du Sud, la Corée du Sud et l'Allemagne.

Adresse

Ministère de l'environnement et des ressources naturelles, Av. Winston Churchill n°77 Edif. Grucomsa 5to piso, Ensanche Piantini, Distrito Nacional
Santo Domingo, République Dominicaine