En 1998, Pékin a lancé un programme intensifié de contrôle de la pollution atmosphérique et, au cours des 20 dernières années, la ville a mis en œuvre une série de mesures, notamment l'optimisation des infrastructures énergétiques, le contrôle de la pollution au charbon et le contrôle des émissions des véhicules. Ces efforts ont réussi à réduire la pollution atmosphérique. Au cours des cinq années de 2013 à 2017, la pollution aux particules fines (PM2.5) à Pékin a chuté de 35 % et de 25 % dans les régions environnantes.
Ce rapport décrit comment le programme de gestion de la qualité de l'air de Pékin a évolué au cours du dernier quart de siècle et formule des recommandations sur les mesures à court, moyen et long terme que Pékin peut prendre pour maintenir son élan vers un air pur.
Les enseignements tirés de ce rapport pourraient également aider de nombreuses villes souffrant de pollution de l'air et Pékin espère une coopération plus large entre les villes et les régions vers l'objectif mondial commun d'une planète sans pollution.